Lors de la bourse de Sainte Marie Aux Mines, j’étais intrigué par une belle pierre rouge sur le stand voisin au mien.
Je me suis donc permis d’envoyer deux personnes se renseigner.
Selon l’exposant, il s’agissait d’un "rubis naturel mais pas tout à fait".
Il expliquait que cette pierre était de la poudre de rubis qui avait été mise en pression pour recréer un rubis. Et encore plus fort il affirmait que les inclusions étaient naturelles.
Je suis donc intervenu en lui signalant que ce qu’il disait n’avait aucun sens, que c’était de la tromperie et qu’il devait afficher clairement "pierres synthétiques", afin d’être en conformité avec la loi.
Le lendemain, aucun affichage n’étant présent, j’ai moi-même rédigé une étiquette avec la mention "pierres synthétiques - synthetic stones" et l’ai collée avec un adhésif double face sur son stand.
Il serait bien que des personnes compétentes soient chargées d’un tel contrôle sur les stands et soient habilitées à apposer de telles étiquettes sur les stands des récalcitrants.
De la même façon de nombreux stands présentaient des rubis très bon marché sans préciser qu’ils étaient remplis de "verre au plomb". Ces rubis ont une valeur très faible et ont tellement de matière étrangère que ce sont des pierres fragiles et doivent avoir légalement la mention de "rubis composites".